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Une musique religieuse ?


Un langage nouveau ?


Notice "Les âmes perdues"


Notice "Comme une étoile ..."


Notice "La rose inaccessible"


Notice "Un peu plus d'élan .."


Notice "Plus près de l'infini"


Notice "Vers la simplicité"


Notice "Double concerto"


Ecouter

lecture    Les âmes perdues

 

lecture    Derrière l'ombre des douleurs

 

lecture    Le Tournoiement des songes

 

lecture    L'échelle de la beauté

 

lecture    A ciel ouvert

 

lecture    Voyage au gré des illusions

 

lecture    Double concerto

 

lecture    Comme une étoile du matin

 

lecture    La rose inaccessible

 

lecture    La colombe et le lys

 

lecture    Un peu plus d'élan et d'innocence

 

lecture    Les Noces d'Orphée

 

lecture    Trio clarinette, alto et piano

 

lecture    Behind the light

 

lecture    Eloge de la folie

 

lecture    Plus près de l'infini

 

lecture    L'oiseau d'éternité

 


La rose inaccessible

pour piano solo, et sept instruments
(2005)

«On cherche trop souvent à expliquer un titre, à lui trouver une signification, espérant ainsi s’approcher du sens de la musique, et comprendre les intentions du compositeur... Ici, le titre signifie justement : ne cherchez pas de sens, il est inaccessible !

Car cette rose est de nulle part, et nul ne sait d’où elle vient et ce qu’elle nous dit. La musique n’a d’autre ambition que d’aller à sa rencontre. C’est donc d’un voyage qu’il s’agit.

Le piano part d’abord seul à l’aventure, assez longtemps, à travers les ombres et la lumière, le silence ; hors du temps. Puis le petit orchestre lui répond, et, sans briser ce climat de poésie, d’intimité, apporte une énergie nouvelle et peut-être même de la joie. Or il ne faut pas nommer ici les sensations, mais abandonner toute pensée et tout repère ! Écouter seulement.

Les instruments explorent tour à tour cette contrée inconnue où le piano nous a conduit. Mais lui seul, probablement le plus ouvert à l’aube, au rêve, à la féminité, saura nous emmener, peut-être, et sans être jamais sûr de jamais l’atteindre, vers cette inaccessible rose.».

Cette œuvre est dédiée  à mon épouse, la pianiste Geneviève Girard, première interprète de la Rose inaccessible.